lundi 12 novembre 2007

A contre courant

Dhalia



Le Métro
où les hommes ne sont plus des hommes mais des véhicules, leur propre véhicule,
un flot ininterrompu, rapides, précis, ils se dirigent selon leur propre aiguillage
d'un coup la veine se sépare, en deux ou en trois selon les ramifications des lignes
ces gens sont tous différents et pourtant il se dégage de ce mouvement une impression d'ordre, de logique, quelque chose d'ineluctable
comme si leurs pieds étaient raccrochés à des rails
sur la voie qui les ménerait à leur travail

2 commentaires:

Anonyme a dit…

ça y est tu nous as fait un blog tu dois vraiment t'ennuyer à paris bisou

Anonyme a dit…

ça fait lgtps c'est juste que je viens de mettre le leins sur le forum ;)
bisous