dimanche 30 septembre 2007

Bienvenue à Gattaca



In a futur where humans are enginered for perfection
Vincent freeman was born whithout the genetical to succeed
and his only change is to hide his genetical identity
by borrowing someone else


magnifique musique de Micael Nyman

Surpopulation

De source sure / l'île de Mologo

les pierres qui roulent..

Original Bob Dylan

vendredi 28 septembre 2007

Tété - Mon Trésor

pas tout à fait l'original....

J'ai un grain, un cactus Florentin
Un cheval et des envies d'aventure
J'ai un bel, vu d'air et tout le tralalalala
Mais qu'en ferais-je si toi tu n'en veux pas

En attendant dedans mon blog
Patiemment je répertorie, je note
Le temps passé à mon trésor amassé
Qu'en faire des lors que toi tu n'en veux pas

J'ai du chien, un oeil et des fusains
Un joli timbre, une exquise nature
Et puis tel libère, de l'ordre, en veux tu en voila
Mais qu'en ferais-je si toi tu n'en veux pas

En attendant dedans mon blog
Patiemment je répertorie, je note
Le temps passé à mon trésor amassé
Qu'en ferais-je si toi tu n'en veux pas

Le temps passé à mon trésor amassé
Qu'en faire des lors que toi tu n'en veux pas
Tout jeter à la mer ou me couper un doigt

Jeter à la mer ou me couper un doigt

Jeter à la mer ou me couper un doigt

Le temps passé à mon trésor à masser
Qu'en faire des lors que toi tu n'en veux pas

Les mystérieuses Cités d'Or

quand ça va pas c'est bien connu on a tendance a regresser...alors moi aujourd'hui je regresse à fond, mon dessin animé préféré dans les années 1980

jeudi 27 septembre 2007

le coeur des grands jours

Ce soir j'ai le coeur dans la gorge, j'ai le noeud des grands instants quand je pense à toi.
J'ai mal au coeur et je me demande pourquoi. Et là je me rends compte que ce n'est pas la peur d'être seule comme je le croyais au départ mais la peur de te perdre toi ma petite blonde que j'ai appris à aimer. Je me comporte mal comme si je ne méritais pas que l'on m'aime que tu m'aimes ou plutôt parce que je ne veux plus être déçue d'aimer, comme un refus de m'investir dans quelque chose qui pourrait me faire mal à nouveau.

Tiraillée je suis entre le repentir (culpabilité) et l'envie de rester sur mes positions. Car personne, ni de toi, ni de moi n'a tort dans cette affaire, ce qu'il te faut c'est du temps et de la confiance. Mais le temps joue contre moi, la montre s'est toujours montrée impatiente avec moi comme moi avec elle.
Je suis fatiguée et le dos me tire. Comment pourrais-je effacer mes colères, autant de façon de te repousser pour te donner des raisons de ne plus m'aimer. Et de la patience et de la confiance et de croire en nous c'est ce dont nous avons besoin plus que des conseils des amis.

Que ma douleur s'efface que tu m'enveloppes comme je te prends dans mes bras. Que tu dormes en paix comme je calmerai la bête qui n'est ni plus ni moins que la peur d'avoir mal à nouveau.

mercredi 26 septembre 2007

She is Back

mardi 18 septembre 2007

carton's head


isssu du blog de sitron http://sitron.canalblog.com/

voilà, bientôt partie, bientôt Paris, et mon ptit ordi dans les cartons, plus d'internet pendant quelques semaines mais je ne me fais pas d'illusions, je serai vite à nouveau connectée quand on en prend l'habitude difficile de s'en détacher.

C'est bien et c'est pas bien, on se fait tous la même remarque. Le web crée du lien, ça devient même une façon (peut être majoritaire) de rencontrer du monde en dehors de son univers de proximité (boulot, potes ), ça permet de découvrir pleins d'individualités, d'univers différents, souvent interessants mais ça ne remplace en rien les moments vécus, ça fait partie de la vie des nouvelles générations.

je passe un coucou à ceux qui cliquent sur mon espace virtuel de temps en temps ou régulièrement et surtout à ceux avec qui cela m'a permis d'échanger, je passe un coucou à ceux de lyon et d'Annecy à qui je dis à très bientôt je l'espère

à Tchao à bientôt

dimanche 16 septembre 2007

Frou Frou

"breathe in"



"let go" du film Garden State avec Natalie Portman

Keira Knightley Coco mademoiselle



mercredi 12 septembre 2007

Lenny Kravitz -Heaven Help

dimanche 9 septembre 2007

debout la dedans!!!!

juste quelques mots pour commencer cette journée, le soleil brille ses rayons traversent la pièces, chaque jour nouveau est à nous pour en faire un lendemain qui chante alors ce matin j'ai plein d'espoir, de l'amour plein le coeur et je me dis que j'ai de la chance, c'est trop facile de ne voir toujours que ce qui ne vas pas...
La trentaine s'approche de moi doucement, je ne suis pas du genre a subir mais a anticiper...après tout j'espère que toutes les epreuves feront de moi quelqu'un de plus apaisé et plus satisfait...arrêter d'être trop exigeante avec moi, avec les autres ...c'est un renouveau qui s'annonce et je compte bien en profiter

Belle & Sebastien - another sunny day

jeudi 6 septembre 2007

When you're gone - cranberries



Hold onto love that is what I do now that I've found you.
And from above everything's stinking, they're not around you.

And in the night, I could be helpless,
I could be lonely, sleeping without you.
And in the day, everything's complex,
There's nothing simple, when I'm not around you.
But I'll miss you when you're gone, that is what I do. Hey, baby !
And it's going to carry on, that is what I do. Hey, baby...

Hold onto my hands, I feel I'm sinking, sinking without you.
And to my mind, everything's stinking, stinking without you.

mercredi 5 septembre 2007

citation en cascade...

Amélie Nothomb citant Virginia Woolf: "Aussi logtemps que l'on a pas écrit, il ne s'est rien passé".

mardi 4 septembre 2007

Ben harper - morning Yearning

Eternelle insatisfaite

Parque l’on a rarement ce que l’on veut quand on le veut ce soir jme fais un ptit coup de mou...Je te remercie Julie de m’avoir donné goût à cette forme d’expression, une curiosité un jeu, un échappatoire, rien de plus qu’un journal intime sauf que je n’aurais pas eu goût d’ouvrir un cahier et de gratter des lignes. Forme d’expression qui se développe aussi comme un symptôme de l’isolement et de la solitude, lorsque l’on voit le temps passé par beaucoup de personnes sur les forums, sur les chat, sur les blogs. Dans quelques temps le départ, la fin et le début comme je vis ma vie. Bientôt plus d’internet, à chaque fois je me dis qu’il faut que je me détache de cette vilaine manie ce sera l’occasion, l’occasion de voir de créer du lien d’une autre façon de voir survivre ou se dissiper ce lien. Je suis allée faire un tour sur gayvox, ça faisait des plombes, comme ça juste pour voir. Le constat est terrible et à la fois encourageant. Tous ces visages, ces titres qui ne veulent rien dire, ces poses aguicheuses, une vraie foire à la solitude et à l’espérance. Ces filles qui veulent, qui rêvent qui tournent en rond qui tournent en rond….moi j’avance, j’avance et pourtant je ne suis jamais satisfaite, je crois qu’il me manquera toujours quelque chose. Tiraillée toujours je suis entre l’envie d’y croire l’envie de m’accrocher et quelque fois de tout laisser passer de tout laisser choire. Comment ne pas laisser passer sa chance, comment ne pas se laisser envahir par son quotidien, comment préserver le lien ? Comment éviter de tout gâcher, comment dépasser le mot de trop la dispute qui entache une relation ? …Trop de questions et la certitude qu’une fois de plus il me faudra trouver mon chemin mais déjà tellement de bons moments derrière moi, je suis reconnaissante.

dimanche 2 septembre 2007

devenir adulte ?...



Dans d’autres époques on était le valet au service d’un noble ou d’un riche bourgeois ou bien artisan intégré dans la succession de l’activité familiale. Clergé, noblesse ou tiers-état, en fin de compte on « était » son milieu social. Dès le départ on évoluait dans un cadre bien défini avec un intervalle des possibles connu et presque obligatoire. A de rares exceptions, des hommes, des femmes poussés par le souffle de leurs aspirations ne suivaient pas ce chemin. Aujourd’hui comment tracer sa vie ? Dans un monde ou tout devient possible, comment inventer sa vie ?
Plus grande liberté certes mais qui conduit souvent à une instabilité, instabilité conjugale, relationnelle, professionnelle. Cette instabilité n’est pas de la seule responsabilité des hommes et des femmes bien sûr mais ses conséquences découlent bien souvent du fait qu’il est bien difficile de gérer cette grande liberté. Alors que la pression de l’épanouissement, la réussite personnel et le culte de l’individu n’ont jamais été aussi fort cela crée une inquiétude une crise parfois permanente. On est souvent insatisfait de sa situation mais arrive-t-on seulement à répondre à la question « Qu’ai-je envie de faire de ma vie ? ». Emmanuel Levinas disait que devenir adulte c’était, évidemment, être responsable de ses actes mais aussi responsable « pour les autres », une forme de parentalité et d’intégration sociale aussi. Quant à moi j’avoue que je ne sais pas bien, ou plutôt si, j’ai des envies je prends une direction ce qui ne m’empêche pas de douter périodiquement que c’est la bonne. C’est une question de bac Philo que je propose ici : « Etre libre, est-ce pouvoir faire tout ce que l’on veut, quand on le veut ? ». La réponse est non bien sûr, on est jamais aussi libre que lorsque l’on connaît les limites de sa liberté. Pour connaître ses limites il y a ses principes, ceux de la société et puis arriver à créer ses propres lignes et s’y tenir. Je crois que c’est tout de même de plus en plus dur, je ne vais pas me plaindre du relâchement des obligations sociales, de comportement, de mœurs etc….je suis la première a en bénéficier mais après tout lorsque la société imposait ses codes, cela n’a jamais empêcher les esprits forts de prendre leurs liberté, et les esprits un peu moins forts de se conformer à la norme. Oui réinventer ses codes, sa lignes de vies, tracer ses principes ça n’est pas donné à tout le monde et c’est souvent très difficile même pour les plus brillants d’entre nous. Même les plus intelligents préféreraient des fois que l’on décide à leur place, se laisser porter, etc…
Tracer ses principes propres alors qu’on s’aperçoit que même cette fameuse société qui imposait jadis ces codes de comportement si contraignant pars en sucette et développe des nouveaux principes qui me débectent. Je viens d’apprendre qu’il existe un nouveau reality show aux Etats-Unis où 40 enfants sont livrés à eux même dans une ferme pour que le téléspectateur se délecte de cette expérience scientifique sur humains à échelle réelle. C’est quoi les principes lorsqu’aux état-unis la police traque les homosexuels dans les toilettes et oblige un sénateur à démissionner en dévoilant sa vie privée en publique ( sénateur républicain anti-homos certe), mais enfin ce qui choque les américain c’est son homosexualité dans ce contexte alors que ça devrait être la traque des flics me semble t-il ?!!!C’est quoi les principes de la société lorsque les opérateurs internet ne respectent rien même pas la loi et te traitent comme de la merde n’hésite pas à essayer de te baiser alors que tu leur donnes un bon paquet de fric tous les mois. C’est quoi la logique quand, pour réussir il faut déménager, changer d’endroit, bouger, bouger encore, que finalement l’intégration sociale dans un lieu dans une vie ne devient plus prioritaire. C’est quoi enfin cette hypocrisie ou beaucoup de gens font croire qu’ils s’amusent qu’ils sont entourés alors qu’en fait bien souvent ils sont seuls. Que lorsqu’ils rentrent le soir c’est une pièce vide qui les attend !
Bref je vais arrêter mon roman catastrophiste car au final moi j’y crois encore, c’est dur, je doute mais je veux croire que d’autres partagent mes principes, que d’autres essayent de ne pas laisser passer toute cette merde, que l’on peut trouver son chemin être aimé et entouré sincèrement. Et surtout qu’il y aura d’autres grands moments de bonheur, moments auxquels j’ai déjà eu droit certainement plus que la moyenne et qu’il y en aura encore, rire partage, découverte amour et amitié.